« La force qui ne connaît que la révolte s’y use » (Albert Schweizer).
« Celui à qui la souffrance est épargnée doit se sentir appelé à soulager celle des autres » (Albert Schweitzer).
« Seul l'arbre qui a subi les assauts du vent est vraiment vigoureux, car c'est dans cette lutte que ses racines, mises à l'épreuve, se fortifient » (Sénèque).
« Ceux qui ont souffert, l’éventualité de la souffrance les fait souffrir autant que la douleur même » (Sénèque).
« Dieu donne à ses meilleurs écoliers les leçons les plus difficiles » (Sénèque).
« Un bonheur que rien n'a entamé succombe à la moindre atteinte ; mais quand on doit se battre contre les difficultés incessantes, on s'aguerrit dans l'épreuve, on résiste à n'importe quels maux, et même si l'on trébuche, on lutte encore à genoux » (Sénèque).
« Une chute profonde mène souvent vers le plus grand bonheur » (William Shakespeare).
« Au temps de Noé, par sa persévérance, l’escargot a bien fini par atteindre l’arche ! » (Charles Haddon Spurgeon).
« Dans le ciel, il n’y aura pas de porteurs de couronne qui n’aient été des porteurs de croix sur la terre » (Charles Haddon Spurgeon).
« Prenez un morceau de fer, essayez de le courber, vous n'y réussirez pas. Posez-le sur l'enclume, saisissez le marteau du forgeron, frappez à coups redoublés et vous ne réussirez pas mieux. Tordez-le, tournez-le et le retournez, ayez recours aux outils les plus perfectionnés, jamais vous ne le façonnerez à votre guise. Mais placez-le dans le feu ; qu'il s'y ramollisse et devienne malléable, chacun de vos coups sur l'enclume où vous l'avez mis produira son effet et vous donnerez au fer la forme exacte qui vous convient. II en est de même de votre cœur : ne cherchez pas à le façonner vous-même dans l'état de froideur et de dureté où il est par nature mais plongez-le tout d'abord dans la fournaise de la grâce divine. Là, laissez-le s'échauffer et se fondre, après quoi il sera comme de la cire molle et pourra reproduire fidèlement l'image du Seigneur Jésus » (Charles Haddon Spurgeon).
« S’il est vrai que Dieu permet à ses enfants d’entrer dans la fournaise ardente, c’est parce qu’il sera lui-même dans la fournaise ardente avec eux » (Charles Haddon Spurgeon).
« Je ne suis que le petit crayon dans la main de Dieu. Priez pour que ce petit crayon n’écrive pas trop mal l’œuvre de Dieu » (Mère Térésa).
« Ne laissez personne venir à vous et repartir sans être plus heureux » (Mère Térésa).
« Ce sont les difficultés qui mettent en lumière la valeur d’un homme » (Louis-Adolphe Thiers).
« La plupart des gens sont dérangés par les passages dans les Ecritures qu'ils ne comprennent pas ; mais pour moi, j'ai toujours remarqué que les passages qui me troublent le plus sont ceux que je comprends » (Mark Twain).
« La vraie charité ouvre les bras et ferme les yeux » (Saint-Vincent de Paul).
« Trouver Dieu, c’est trouver son maître, c’est trouver sa règle, c’est engager sa liberté, c’est abdiquer son indépendance, c’est se détrôner soi-même dans son cœur ; c’est accepter un joug et un fardeau, avant d’avoir appris combien ce joug peut devenir aisé et ce fardeau léger ; c’est en un mot une série de renoncements et de sacrifices, que l’amour rend délicieux, mais dont, avant que d’aimer, on ne peut connaître la douceur. Il y a dans l’homme naturel, je dis dans le plus distingué, une répugnance profonde pour toutes ces choses ; et voilà pourquoi l’on ne cherche pas Dieu ; et voilà pourquoi on ne le trouve pas » (A. Vinet).
« Je ne suis pas d'accord avec ce que vous dites mais je me battrai jusqu'au bout pour que vous puissiez le dire » (Voltaire).
« L'univers m'embarrasse, et je ne puis songer que cette horloge existe et n'ait pas d'horloger » (Voltaire).
« Il est impossible de gouverner le monde avec droiture sans Dieu et la Bible » (George Washington).
« Le problème des problèmes, c’est de faire passer le christianisme dans les actes » (Wesley).
« On ne souffre pas seul, on souffre toujours avec ceux qui souffrent à cause de votre souffrance » (Elie Wiesel). |